Notre éthique

En quelques points !

Afin d’obtenir des résultats satisfaisant, nous pensons qu’il nous faut une éthique forte !
Voici le code morale que s’impose l’association Koridori.

Un premier pas

Notre premier pas, réside dans une prise de conscience que la nature est un organisme vivant.
Elle est doté de processus de régulation et d’équilibrage interne.

Nous avons peut-être l’impression qu’elle nous appartient, mais c’est peut-être nous, en tant qu’espèce, qui lui appartenons.
Pouvons nous lui faire confiance sur sa capacité à nous aider à résoudre les problèmes que nous avons générés ?

Nous nous accordons sur le fait qu’elle produit toutes les conditions nécessaires à notre existence.
Elle répond à nos besoins les plus vitaux : respirer, boire, nous nourrir, ainsi qu’a nous fournir notre cadre de vie.

Pour ceux qui ont encore du mal à intégrer qu’ils font partie de la nature,
nous pouvons tenter d’envisager d’entretenir une relation de partenariat avec elle.
Que puisse naître une nouvelle forme de fécondité : le fruit de la Terre et de notre ouvrage.

Nous souhaitons apprendre à l’aimer, à cohabiter avec ses différents habitants.

Chacun, quel qu’il soit, réalise son premier pas et se met en chemin.

- - Quel sera mon premier pas ?
  - Quel chemin vais-je prendre pour tenter d’aimer un peu plus la nature ?

Dialogue et responsabilité

Il n’y a pas qu’une seule façon d’aimer :

- - Partager et remettre en question nos pratiques quotidiennes.
  - S’ouvrir au regard d’autrui.
  - Être à l’écoute des différents points de vue.
  - Et bien d’autre

Nous mettrons alors de mettre en place des espaces de dialogue et de sensibilisation.
Des espaces entre humains, mais surtout des espaces de rencontre avec la nature.
Des lieux où les être humains ou non humains puissent converger et apprendre à mieux se connaître.

On peut apprendre de la nature en regardant de beaux reportages ou en lisant.
Nous apprendrons des choses très différentes en passant du temps avec elle.

Depuis quand n’avez vous pas écouté le chant de l’aube ?

Partage et sensibilité

Pour tenter de mieux agir et se laisser transformer par la nature,
il faut apprendre à mieux la ressentir, à mieux la comprendre.
Cela passera
nécessairement par :

- - Le partage de nos expériences
  - Le partage de nos connaissances
  - Le partage de notre passions pour la nature

Humilité

Respecter les cycles du vivant, dont on ne comprend et dont on ne voit que si peu de choses,
impose de rester humble, patient, raisonnable.

Cela impose aussi de n’agir qu’à petite échelle, mais sur des temps long. Car la nature a besoin de ce temps pour s’adapter.

Chaque animal qui circule sur terre, chaque grain de pollen transporté par l’abeille,
chaque graine transportée par le vent, agissent chacune à leur échelle et modifient la surface de la terre.
La vie n’est faite que de la somme de tous ces petits actes minuscules.

Notre action et notre place sur cette terre doit tenter de trouver la façon la plus humble d’être au monde.

Transmission

Ce fait que la vie est féconde, c’est qu’elle a la capacité de se reproduire.
Si nous souhaitons que nos actions s’inscrivent dans le temps,
il faudra aussi que nous veillions à ce que nos action puissent également se reproduire.

Nous cherchons à transmettre, à former, à enseigner.

Passer à l’acte est finalement quelque chose de très simple : rencontrer la nature et mettre en œuvre
sur les territoires dont nous avons la responsabilité, les conditions qui favoriseront cette rencontre.

Chacun selon ses passions, ses centres d’intérêt ou ses envies. Il y a tant de façons d’aimerNous